La structure physique de l'émission "type téléphonie mobile" (dont le Wifi) est composite. Elle est triple :
– une hyperfréquence, ou micro-onde,
– une gamme de très basses fréquences,
– une multipulsation chaotique, c'est-à-dire sans résonance de rythmes.
Voir : le syndrome des micro-ondes - dossier scientifiqueBien qu'à faible puissance électrique (0,1W env.), la fréquence particulière des émissions Wifi (~2450Mhz : fréquence d'agitation des molécules d'eau utilisée dans les fours micro-ondes) la rendent particulièrement toxique car émise en permanence et accompagnée d'ondes pulsées en extrêmement basses fréquence, qui perturbent notamment l'activité électrique du cerveau mais aussi le système endocrinien et immunitaire.
Sachez également que vous pouvez incommoder des voisins "électrosensibles", même en ne l'utilisant que la journée et en l'éteignant la nuit. L'idéal étant l'utilisation du câble Ethernet ou USB et la désactivation du Wifi expliquée ci-dessous.
Voir la rubrique électrosensibilité
Même si vous ne le ressentez pas physiquement, sachez que le Wifi (au bureau comme à domicile) en raison de sa structure particulière d'ondes (pulsées en extrêmement basses fréquences), vous expose à ces principaux effets biologiques
– la perte d'étanchéité de la barrière hémato-encéphalique (barrière sang-cerveau) ;
– la perturbation de production de la mélatonine et de l'acétylcholine (mémoire, concentration, humeur) ;
– la déstabilisation des régulations membranaires ;
– les dommages génétiques.
NB : Le gouvernement allemand recommande l'utilisation des connexions filaires pour raison sanitaire (Fibre optique ou cuivre pour le déploiement industriel, USB ou Ethernet / RJ45 en intérieur), qui procurent une plus grande fiabilité technique (meilleure stabilité, meilleur débit, meilleure confidentialité) tout en préservant la santé. Et de désactiver l'option Wifi, qui est activée par défaut sur la plupart des modem fournis pour l'accès à Internet par ADSL.
Le Parlement Européen et le Conseil de l'Europe préconisent également l'abandon du Wi-fi (2011).
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